les réseaux sociaux jouent un rôle prépondérant dans la communication et le football. Devenu un phénomène social, le football n'échappe pas à la vague du web social.
Une compétition prestigieuse comme la coupe du monde est d'autant plus un contexte favorable à la prolifération d'informations sensibles (ou parasites). Les équipes doivent alors faire un choix au niveau de la stratégie de communication. Ce choix ne se fait pas que sur la communication avec la presse mais aussi sur ce que communique les joueurs avec l’extérieur.
Certaines équipes choisissent alors de bloquer la communication comme l’Espagne avec l’entraineur, Vicente Del Bosquet, qui interdit l’utilisation de Facebook et Twitter à ses joueurs durant toute la durée de la compétition. La principale raison est bien sur de maintenir les joueurs à un bon niveau de concentration et éviter d’être distrait par les commentaires positifs et surtout négatifs. On peut très bien être influencé par des centaines de commentaires sur sa pages facebook quand on n’est une star du football. De plus il se peut que les joueurs fassent des dérapages et provoque des conflits par leur activités sur les réseaux sociaux. On a pu voir par exemple Nicolas Anelka dire à son sélectionneur de venir le supplier pour qu’il envisage de rejouer chez les bleus ou l’entourage du Madrilène, Kakà, critiqué vivement sur Twitter son entraineur Manuel Péllégrini lors de leur élimination en Ligue des Champions par Lyon.
la décision du sélectionneur de l’équipe d’Espagne montre alors qu’il y a un réel enjeu sur la maîtrise de la communication à travers les réseaux sociaux. Deux choix sont possibles : lutter comme dans ce cas ou trouver les voies et moyens de s’adapter.
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